... au Cours Julien ! Un jour de manif, enfin en fin de manif !
Antiques ou en Tags, rue Jaubert, avr. 2016Plaine, avr. 2016Collage, avr. 2016
Au départ, c'était tranquille puis la fin du cortège jouant à cache-cache avec les forces de l'ordre, est remontée au Cours Julien. Suivie de près, par des hommes en noir cherchant visiblement autre chose.
Tag Manif, avr. 2016Jeunes Rouges, avr. 2016Déjeuner perturbé, avr. 2016
Une bombe lacrymo plus tard, le repas fut vite terminé.
1968 le retour ?, avr. 2016
Une fois l'inquiétude passée, la sortie scolaire pût commencer.
Porte uniforme, avr. 2016Harmonies brunes, avr. 2016Tire pas la langue, avr. 2016Fenêtre de peintre, avr. 2016Sous le regard de..., avr. 2016Nina et Bob, avr. 2016Par la porte étroite, avr. 2016On se connaît ?, avr. 2016Maillots afros, avr. 2016A la ligne, avr. 2016Un berger commode, avr. 2016Force Jaune, avr. 2016Rodolphe le vélo, avr. 2016Grumf !, avr. 2016Barreaux, avr. 2016Nuit blanche, avr. 2016Sous-verre urbain, avr. 2016Bris d'affiche, avr. 2016
Instants capturés entre la rue Pastoret, la rue des Trois rois et la rue Bussy l'Indien.
Hôtel des Voyageurs, avr. 2016Hôtel des Voyageurs, avr. 2016Hôtel des Voyageurs, côté Foirail, avr. 2016Hôtel des Voyageurs, avr. 2016Hôtel des Voyageurs, avr. 2016
Il témoigne d'un passé plus actif dans cette bourgade de Condat dans le Cantal. Vers 1850, il y avait 4 000 habitants aujourd'hui ils sont 1 000.
Rue du Foirail, avr. 2016Rue du Foirail, avr. 2016"Tourne la poignée", avr. 2016A fond l'Auvergne, avr. 2016
Le foirail sur les hauteurs doit rassembler moins de monde qu'antan et les fabriquants de "toiles" ont dû disparaître...
En face : le Foirail, avr. 2016
Douce France du rural, nourricière, encore sauvage et peu délaissée.
Licence Old age, avr. 2016Balcon esseulé, avr. 2016
De l'autre côté de la rue, sur celle qui va vers Clermont, l'hôtel avait des airs de noblesse et était même le "Grand Hôtel des Voyageurs" !
Que c'était cruel de bâder ce bel endroit et de ne point y poser son séant !
Pas le temps ! Nous n'avions pas le temps !
Nous avions trop musardé devant les ors et merveilles de Canaletto, il fallait filer prendre la navette, car au Lycée, la journée n'était point finie...
Ici, j'aime beaucoup l'arrière-saison et ses surprises !
L'endroit nous était connu, inscrit sur aucune carte de baignade mais l'eau de septembre était là et nous ne pouvions pas y passer deux jours sans passer à l'eau !
Un point de vue imparrable sur une partie du Port et les quartiers de la Ville qui bougent. Tout cela vu de loin à l'abri d'un fameux chantier naval.
Au prochain billet, je dévoilerai pourquoi nous y étions... que du bon temps ;.D